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Calendrier de l’avant made in Black Library

12 contes de Noël

Oublions les lutins, rennes et autres barbus pour ce calendrier de l’avant à la sauce dark fantasy ! Ici, il n’est pas question de happy end, de gentils trolls ou de cadeaux bienveillants. Non, au 40° millénaire il n’y que la guerre et Noël a depuis bien longtemps disparu des archives impériales.

Pour patienter jusqu’au 25 décembre 2020, dont il faut bien reconnaitre qu’elle fût marqué du sceau de Nurgle ;), Black Library propose 12 contes couvrant les thèmes de w40k, de l’Hérésie d’Horus et d’Age of Sigmar. Ces contes sont disponibles sur abonnement (au prix de 12 contes pour le prix de 10) ou a l’unité (env. 3€ TTC) aux formats ePub et Mobi. Le tout en français, s’il vous plait. Tous les jours pairs, un nouveau conte sera donc disponible sur la boutique en ligne.

Le premier, disponible le 2 décembre, permet de démarrer en trombe et s’axe sur un personnage pivot de la série de l’Hérésie d’Horus : le terrifiant Erebus des Word Bearers.

2 décembre 2020 – L’Enfant du Chaos

Une histoire des Word Bearers. L’origine d’Erebus

Auteur : Chris Wraight

En vente sur Black Library

« Par les dieux,, qu’est-ce que je détestais Colchis, je détestais la chaleur. Je détestais la poussière et la transpiration. Même avant que je sache qu’il existait d’autres planètes, j’ai maudit les dieux d’avoir fait que mon monde natal soit aussi insupportable. I y a une raison pour que les religions prospèrent dans les déserts : il n’y a rien d’autre à y faire que de s’appesantir sur sa misère. »

Après avoir découvert l’enfance de Lorgar et sa relation très particulière avec Kor Phaeron dans le très bon roman de la série Primarchs Lorgar: Porteur de la Parole. Après avoir découvert les origines de l’hérésie dans Le Premier Hérétique et avoir foulé les ruines de Calth où Erebus s’illustre comme chef d’orchestre d’une des plus célèbres trahisons de la série, retour sur Colchis, la planète où grandit Lorgar. Chris Wraight nous fait découvrir l’histoire d’Erebus écrite à la première personne, à l’image d’une confession des plus sombres.